Le synode nous propose un travail d'été

12 thèmes de réflexion. Choisissez-en un. Mettez-vous à 2,3 ou 4. Et faites des propositions concrètes pour l'avenir de nos paroisses.

Durant la première année du synode, la réflexion a porté sur les grandes enjeux pour l’avenir de nos paroisses. 12 enjeux ont été retenus autour de 4 grands thèmes : Proximité - Communion - Participation - Mission. Pour chacun des thèmes, un texte a été écrit.

 

Nous présenterons, ces 12 thèmes dans la seconde partie de la soirée de mardi et nous proposons à 12 personnes de choisir un thème et d’inviter quelques autres personnes à réfléchir aux propositions concrètes que notre paroisse pourrait mettre en oeuvre sur ce thème. Ce sera notre travail d’été. Une fiche est disponible pour écrire les résultats de votre réflexion. Elle sera à rendre pour le 20 août. La paroisse renverra ses fiches au synode. Contact : André Benoît Drappier - 03 27 64 69 18 - abdrappier@orange.fr

 

Proximité :

 

1) Nous laisser toucher par tous

2) Aller à la rencontre, accueillir et être signes

3) Développer des communautés de proximité

 

Communion :

 

4) Considérer les paroisses de demain comme des communions de communautés

5) La paroisse, « communauté eucharistique »

6) L'animation pastorale de la paroisse en vue de la communion et de la participation

 

Participation

 

7) Les ministres de la mission paroissiale

8) Accompagner les personnes dans les étapes de leur vie

9) Des propositions liturgiques adaptées au cheminement des personnes

 

Mission

 

10) Aller vers...

11) Vivre en Église avec les jeunes

12) Des choix à vivre

 

Voici le texte des 12 thèmes de réflexion :

 

1) Nous laisser toucher par tous

 

Les diversités de situations humaines, sociales et les diversités des chemins de foi sont autant d’appels pour l’Église et pour les paroisses de demain. Il s’agit de devenir toujours plus ouverts à tous, de se laisser toucher par tous.

 

Le Synode appelle toutes les communautés d’Église à vivre la proximité en écoutant et en accueillant toutes les personnes et les groupes humains tels qu’ils sont. Les premiers pas de la rencontre sont ceux de l’accueil sans conditions. C’est un vrai défi pour nous aujourd’hui alors que tant de dynamismes et de motivations, tant de situations et de choix, peuvent sembler loin des chemins de Dieu. Il y a aussi comme une interpellation lancinante les situations de ceux et celles qui sont laissés sur le bord de la route par notre société et devant qui nous sommes souvent démunis.

 

2) Aller à la rencontre, accueillir et être signes

 

Le Synode insiste sur la visibilité ou mieux la lisibilité des chrétiens, des paroisses et de toutes les communautés.

 

La première proximité est celle de chaque chrétien, appelé à se convertir, à se centrer sur l’Évangile, pour donner à voir le visage du Christ. Il s’agit de rendre désirable l’Évangile et la vie chrétienne.

 

Chaque chrétien est appelé à partager la joie de l’Évangile et à conduire au Christ source de bonheur et de salut. Pour valoriser ce rôle des premiers témoins de l’Évangile, le Synode appelle les acteurs pastoraux à repérer et soutenir les charismes propres des chrétiens, des groupes et des paroisses.

 

Il s’agit aussi pour les paroisses de demain d’être signes. Qu’en nous voyant, on puisse dire «voyez comme ils s’aiment», «voyez comme ils servent». C’est le début de la fraternité qui vient du Christ qui peut donner envie.


Des lieux mais aussi des moments, des initiatives, bien indiqués et repérés peuvent former une image de marque de l’Église accueillante et proposante.

 

3) Développer des communautés de proximité

 

Le Synode veut faire de l'objectif du développement de communautés de proximités l’une des priorités des années à venir. Les paroisses et aussi tous les acteurs de l’Église sont appelés à s’y engager.

 

Pour prendre en compte les diversités nombreuses et vivre la rencontre autour des points communs et du même langage, nous avons à développer des équipes, des groupes, des lieux, des moments qui permettent à chacun d’accueillir l’Évangile, de chercher les chemins pour le mettre en oeuvre et de prier avec d’autres, semblables ou proches.

 

La famille peut être vue comme la première de ces communautés.

Dans l’espace rural, il y a urgence à mobiliser et motiver des chrétiens pour qu’existent et se développent des groupes actifs et reconnus dans les villages.

 

Dans le souffle de Diaconia, le Synode invite à favoriser la rencontre de petites fraternités où l’expérience et la parole des personnes pauvres et marginalisées est première. De nombreux chrétiens ont été touchés par cette démarche. Il s’agit de l’entretenir en sachant que souvent les personnes en pauvreté sont absentes ou marginalisées.

La proximité est multiple : géographique, sociale, en réseaux, et aussi par génération ou sensibilité ethnique ou culturelle. Le Synode demande à tous d’être mobilisés pour prendre en compte ces particularités.

 

4) Considérer les paroisses de demain comme des communions de communautés

 

Il y a une tension vivante et souvent fructueuse entre les communautés de proximité et la paroisse comme le lieu du rassemblement et de l’unité. Ainsi le Synode appelle à mettre en oeuvre une complémentarité féconde entre la paroisse qui rassemble et des équipes locales qui témoignent au coeur de réalités dispersées.

 

Les paroisses de demain seront aussi le lieu de soutien, d’accompagnement et de ressourcement liturgique et sacramentel pour les chrétiens présents et témoins dans de petites communautés. Elles ont à éveiller et soutenir la conscience missionnaire des baptisés.

 

Pour être plus proches de tous, les paroisses sont appelées aussi à se diversifier. Le Synode demande de travailler les contours de ce que seront les paroisses de demain dans l’espace rural, en centre-ville, dans les quartiers populaires… et dans toutes les diversités des manières de vivre en société.

 

5) La paroisse, « communauté eucharistique »

 

Le synode demande que les paroisses de demain soient des «communautés eucharistiques», pour qu'elles permettent toujours davantage aux communautés chrétiennes et aux fidèles laïcs de devenir une «offrande agréable à Dieu, sanctifiée par l'Esprit-saint» (Rm15,16).

 

Le synode demande que l'Eucharistie dominicale, signe et moyen essentiel du rassemblement paroissial dans une dynamique de communion , soit un rendez-vous stable dans l'horaire et le lieu, repérable par tous.

 

Le synode demande un engagement de tous pour mieux mettre en oeuvre le rituel eucharistique en vue d’une participation active, vivante, consciente, adaptée à l’âge et aux conditions de vie. Dans ce but, il demande de mettre en oeuvre un effort de formation.

 

Le synode propose que, dans la mesure du possible, l'Eucharistie puisse être célébrée par moment dans les réalités de proximité. Mais ce sera toujours pour signifier et appeler cette réalité à être articulée à la communion ecclésiale représentée par la paroisse. Il y aura avantage à mettre à profit les jours de semaine pour ces rendez-vous localisés.

 

Certaines paroisses se retrouvent sans Eucharistie certains dimanches. Le synode demande qu'elles continuent à célébrer dans une liturgie de la Parole adaptée, signifiant ainsi l'appel à se rassembler comme Corps du Christ.

 

Le synode demande que se développe au sein de la paroisse de demain une catéchèse permanente sur l'Eucharistie, sur l’Église comme mystère eucharistique et sur l'appel à la sainteté comme vie eucharistique. Cette catéchèse doit pouvoir devenir un substrat pour une pastorale vocationnelle.

 

Le synode demande que les paroisses de demain aident les fidèles laïcs à s'approcher, seuls ou en communauté, du sacrement de r.conciliation. Il est un don de Dieu pour aider à avancer dans la dynamique de communion. Le synode demande aux prêtres, qui en sont les ministres, de s'entraider pour se rendre disponibles à tout projet paroissial visant à cet objectif.

 

6) L'animation pastorale de la paroisse en vue de la communion et de la participation

 

a) Le projet pastoral et le discernement ecclésial :

 

Le synode souhaite que chaque paroisse de demain élabore un projet pastoral.

 

Le synode demande qu'il y ait dans chaque paroisse, de façon régulière, une assemblée paroissiale qui, écoutant la vie et les expériences des uns et des autres, propose des priorités pastorales et donne son avis sur les choix qui lui sont proposés. D'autres moyens de consultation peuvent être envisagés.

 

Pour penser la paroisse de demain, le synode demande de privilégier une logique de «réseau»dans l'élaboration du projet : non pas un unique projet que chacun doit suivre, mais auquel chacun s'articule selon ses capacités, ses besoins, ses appartenances plurielles...

 

Le synode demande que chaque projet paroissial soit accompagné d'une démarche d'appel de fidèles laïcs pour sa mise en oeuvre, et d'un discernement des responsabilités à confier à chacun.

 

 Le synode demande que toute mission confiée le soit pour une durée précise et prenne en compte l'accompagnement et la formation adaptés aux différentes charges.

 

Le synode demande que les personnes qui reçoivent une mission aient une reconnaissance clairement signifiée, dans la liturgie ou par un autre moyen.

 

b) Une diversité ecclésiale à accueillir :

 

Le synode demande d'appeler le plus grand nombre de fidèles laïcs, si possible par binôme, à permettre et animer autour d'eux une vie ecclésiale en proximité, de rejoindre les personnes dans les réalités de vie qui leur sont proches, les familles, de leur permettre une rencontre avec une vie fraternelle autour de l'Évangile.

 

Le synode demande aux paroisses de demain de reconnaître que la fondation et l'animation d'une vie ecclésiale en proximité sont des dimensions privilégiées de l'engagement des baptisés et de leur prise d'initiative. Le synode propose de se référer au principe de subsidiarité pour réfléchir à l'articulation entre l'organisation et l'animation de la paroisse d'un côté, et ce niveau d'engagement en proximité.

 

Le synode demande que chaque paroisse de demain encourage et suscite la diversité des réalités ecclésiales de proximité.

 

Le service pastoral de la communion :

 

 Le synode demande que soit institué dans chaque paroisse un lieu de relecture de l’action pastorale destiné aux animateurs des diverses réalités ecclésiales de proximité, qui pourront ainsi se former, en particulier autour de la «pédagogie de l'école du Christ». Le prêtre trouve sa place dans cette mission, ainsi que des laïcs compétents (en particulier des A.L.P.).

 

 Le synode demande que, en coordination avec les laïcs en responsabilité dans la paroisse, et dans la mesure du possible, le prêtre visite régulièrement les diverses réalités ecclésiales de proximité. Ce sera le plus souvent l'occasion d'un moment de relecture collective de l'expérience d’Église qui s'y vit, à «l'école du Christ».

 

Le synode demande aux paroisses de demain de rendre plus souvent visible, pour l'ensemble des réalités ecclésiales qui les composent, le signe du service porté par les diacres.

 

7) Les ministres de la mission paroissiale

 

a) Les fidèles laïcs :

 

Le synode demande de confier à des laïcs, au sein de la paroisse de demain, une mission de «mise en lien» pour permettre aux diverses réalités de vie d’Église en proximité d'être rejointes, reliées, invitées à ne pas exister en dehors d'une communion ecclésiale plus large. Cette mission est actuellement celle d'une EAP (équipe d'animation de la paroisse) et est donnée par l'évêque. On peut imaginer qu'elle prenne parfois la forme d'un ministère porté par une personne.

 

Le synode demande aux prêtres curés des paroisses de demain de penser leur mission en articulation avec ces laïcs en EAP. Ceux-ci reçoivent du curé une «délégation» qui précise le domaine plus concret de leur mission. Il est important qu'ils puissent partager entre eux et avec le curé le contenu de leur mission.

 

Le curé participe à toutes les décisions pastorales essentielles à la vie paroissiale. Le synode demande qu'il permette à ses collaborateurs d'être également des acteurs authentiques et respectés de la décision pastorale.

 

 Le curé est celui qui délègue des responsabilités à des fidèles laïcs dans la paroisse. Il est le garant de la dimension ecclésiale de la mission confiée. Mais le synode lui demande d'exercer le plus possible son discernement dans le cadre de l'équipe d'animation de la paroisse (EAP).

 

Quand une paroisse se retrouve sans curé pour une durée prolongée, le synode demande que la conduite de la paroisse continue de s'appuyer sur l'équipe d'animation de la paroisse. Cette équipe se verra confier la participation à l'exercice de la charge pastorale. Dans certaines situations, on préfèrera confier cette mission à un membre de l'équipe.

 

b) Les prêtres :

 

Autant que possible, le synode demande que les paroisses de demain aient un curé.

 

Le synode demande que le nombre des paroisses de demain ne soit pas tributaire du nombre de prêtres, mais qu'elles demeurent à une taille raisonnable pour que des fidèles laïcs puissent y mener une mission de «mise en lien» des diverses réalités de proximité.

 

Le synode demande aux prêtres de porter solidairement avec l'évêque l'ensemble des communautés chrétiennes du diocèse. Quand l'un d'eux est nommé précisément à une ou plusieurs paroisses, il est de sa responsabilité, comme membre du presbyterium, d'aider son évêque à ce que la mission du prêtre soit signifiée dans toutes les paroisses, même si ce n'est pas avec la même intensité partout et en tenant compte de la diversité des charismes.

 

Le synode demande aux communautés chrétiennes de permettre aux prêtres d'exercer cette dimension plus vaste de leur ministère et de les aider à le faire dans de bonnes conditions d'équilibre de vie et d'épanouissement spirituel.

 

Le synode demande de prendre en compte des aspirations spécifiques de plus jeunes prêtres et des besoins de formation en début de ministère. Ils doivent pouvoir, dans la mesure du possible,recevoir une mission dans un domaine clairement défini, en assumant eux-mêmes un certain nombre de tâches concrètes de la vie pastorale. Cela suppose qu'ils ne soient pas seuls, mais entourés d'une équipe de confrères qui aident à créer les conditions de ce premier âge du ministère.

 

Les diacres :

 

Le Synode demande que le ministère diaconal soit prioritairement pensé pour la mission dans les périphéries existentielles.

 

Le Synode propose que dans certaines situations, un diacre puisse parfois être associé, dans le cadre de sa mission, à l'organisation et l'animation d'une paroisse, sans que cela se généralise.

 

8) Accompagner les personnes dans les étapes de leur vie

 

Le Synode invite les paroisses de demain . se penser de plus en plus comme une grande famille où on se soucie les uns des autres, en particulier en annonçant les événements (baptêmes, mariages, funérailles, etc.) qui touchent ses membres, et en priant avec eux et pour eux.

 

Dans toutes les propositions et activités catéchétiques, le Synode demande aux paroisses de demain de se centrer sur les familles. En particulier, suite . une demande pour un ou plusieurs membres d'une famille, les paroisses doivent permettre que tous puissent être associés de façon adaptée au cheminement proposé.

 

Pour que les paroisses de demain puissent proposer des itinéraires adaptés aux personnes, capables de donner du sens à leur démarche, le synode leur demande de favoriser un véritable partenariat entre les différents acteurs de sa mission. Le synode demande aux différents services diocésains de promouvoir ce travail collaboratif dans les paroisses.

 

Le Synode demande de généraliser la pratique consistant, après une célébration liée à une étape de la vie, à inviter les personnes aux événements préparés par quelques-uns pour tous, ou à des événements pensés plus spécifiquement pour eux (les baptisés de l’année, les mariés de l’année, les familles ayant eu un deuil, etc.).

 

9) Des propositions liturgiques adaptées au cheminement des personnes

 

Le Synode demande que les paroisses de demain proposent des temps-forts. l'occasion de l'année liturgique ou de rassemblements à portée catéchétique. La liturgie prendra en compte le contexte spécifique, en particulier la nécessité pour beaucoup de personnes d'un cheminement pour vivre des sacrements de l'Église. Ces temps-forts doivent faire partie du projet pastoral de la paroisse, s'accompagner d'un travail d'invitation et être l'occasion d'une participation plus large dès la préparation.


Le Synode demande aux paroisses de demain d'oser proposer d'autres liturgies à d'autres moments que l'Eucharistie dominicale. Ces liturgies doivent prendre en compte la diversité des étapes de vie, des cheminements, des besoins et des attentes. Dans ce but, le synode demande que l'on aide les communautés chrétiennes à puiser abondamment dans la richesse des liturgies de l’Église (prière des heures, bénédictions, étapes de baptêmes, célébrations pénitentielles non sacramentelles, etc.).

 

Le synode demande aux paroisses de demain de porter une attention particulière, la qualité de l'accueil des personnes et des familles à leur arrivée à l'Église pour une célébration liturgique. À partir de cet accueil, les animateurs de la liturgie doivent pouvoir valoriser toutes les possibilités d'une parole partagée et d'un écho des soucis du monde, proche et lointain. À l'attention des plus jeunes, l'accueil doit ouvrir à une mise en valeur de toutes les possibilités de leur participation active et adaptée. Là où c'est possible, le synode demande de prolonger l'Eucharistie dominicale d'un temps de convivialité.

 

Le Synode demande d'articuler de plus en plus la préparation aux sacrements avec la vie dominicale de la paroisse de demain.

 Le Synode demande à la diversité des communautés chrétiennes d'ouvrir leurs lieux de culte pour des temps de prière en semaine ou à l'occasion de temps liturgiques populaires. Si nécessaire, il faut les aider à réaliser les aménagements de l'espace liturgique pour rendre cela possible.

 

Le synode demande aux communautés religieuses d'enrichir les propositions paroissiales de temps de prière, d'écoles d'oraison, de partages fraternels dans l'esprit de l'Évangile. Les différents groupes de prière, en accord avec les responsables paroissiaux, pourront collaborer aussi à la variété des propositions.

 

10) Aller vers...

 

Le synode envisage résolument la mission tournée vers les périphéries. Les paroisses de demain sont appelées à sortir de leurs préoccupations internes pour aller vers tous.

 

Pour être fidèle à cette mission, le synode demande aux paroisses de demain d’aller vers les lieux de vie quotidienne des femmes et des hommes du Nord-Pas de Calais. C’est dans le partage de vie qu’apparaissent les richesses de chacun et que peut émerger un goût d’Évangile.

 

Dans ce compagnonnage, le synode demande aux paroisses de demain de prendre le temps de la relecture des événements, pour y reconnaître les signes de la présence de l’Esprit qui toujours nous devance.

 

Le synode demande aux paroisses de demain d’avoir le souci de mettre en lien, de favoriser les relations entre les personnes et donc de développer la vie en réseaux.

 

Le synode demande aux paroisses de demain de rayonner de la joie de l’Évangile et de témoigner de Celui qui nous fait vivre, nous dynamise et nous entraine.

 

Pour témoigner de Dieu qui dit à chacun : «Tu as du prix à mes yeux et je t’aime» (Is 43,4) et «Tu es capable de…», le synode invite à consentir à une conversion profonde de notre regard et de notre agir, à tous les niveaux de responsabilité, par une attitude, une attention positive à l’égard de tous.

 

Pour vivre cette conversion, le synode demande que toute action pastorale s’enracine dans le Christ par la prière, l’accueil de sa Parole, la célébration des sacrements, en particulier l’Eucharistie et la réconciliation. La vérité de notre témoignage passe d’abord par l’unité entre nous et par nos réconciliations.

 

 

11) Vivre en Église avec les jeunes

 

12) Des choix à vivre

 

Article publié par André-Benoît DRAPPIER • Publié le Mardi 01 juillet 2014 • 2251 visites

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